La barbarie sioniste est à son paroxysme. Elle dépasse toutes les frontières, suscite la répugnance et attise la colère de l’humanité toute entière.
Abattre de sang-froid, les nouveaux-né, les vieillards, les femmes et le staff médical et infirmier d’un hôpital est le pire des actes immondes qu’on puisse commettre. Jusqu’où le génocide aveugle et vindicatif veut-il aller encore au su et vu de toute la communauté universelle? C’est un carnage éhonté et effronté auquel s’adonne de plain fouet, cette machine de guerre assassine contre des civils, dans l’horreur et la répulsion les plus immorales de l’histoire humaine. Un peu partout sur la planète horrifiée, des mouvements scandalisés jalonnent les artères, même dans le camp pro-israélien notamment aux États-Unis, au Royaume Uni, en Allemagne et autres, s’égosille à tue-tête, contre l’infamie innommable du massacre sioniste.
Toute la conscience collective mondiale est en pleine ébullition et se rebelle sciemment dans le fond des fibres humaines, à l’encontre de l’aversion qui se répand dans les mares de chairs déchiquetées et de sangs en effusion. La boucherie sioniste, creuse-t-elle sa propre tombe face à un monde révolté ? Nul ne saurait tolérer de telles impudences exterminantes se perpétrer au sein d’un peuple dont la terre et la vie sont lâchement bafouées dans l’effroi et la répulsion extrêmes. Ni la ligue arabe effacée et impuissante, ni les Nations Unies commanditées à distance par les As forcenés du sionisme et du terrorisme géostratégique du globe ne sont disposées à intervenir et altérer les intérêts divers de la région.
Devant ces disproportions criardes, on n’aurait que les yeux pour pleurer le sort de l’humanité soumise aux feux et aux obus. Irait-t-on vers la résignation déclarée, en face de ce monde ainsi fait, où la loi de la jungle est de mise ? La Palestine ne serait en fait, que la partie apparente de l’iceberg de la disparité régnante dans le monde au sein duquel les règles de la puissance et du profit l’emportent sur les valeurs de la coexistence de l’Homme et de l’équilibre de la Nature. Les vertus de la paix, de la justice et de la cohabitation sont systématiquement éradiquées et bannies du glossaire mondial, puisque les géants de l’armement, les grosses multinationales du négoce et les supers des médias et des sciences de l’information, s’accaparent la part du lion des ressources mondiales. L’ordre préétabli injuste et criminel envers l’humanité demeurera-t-il indéfiniment dans ce déséquilibre de la vie sur terre ? C’est la question que se doivent de se poser les « idéalistes » du monde et œuvrer pour faire régner d’autres vocables au service de l’humanité ! Le terme « idéalistes » pourrait paraître utopiques dans la mesure où tellement il semble inaccessible que ce n’est plus la peine d’en parler. Victor Hugo, l’illustre poète et romancier français s’idéalisait, en formulant cette belle citation : « Les grandes révolutions naissent des petites misères comme les grands fleuves des petits ruisseaux ! ».