Le Maroc et l’Organisation des Nations Unies fêteront mardi prochain à Agadir, la deuxième édition de la Journée Internationale de l’Arganier.
Célébré cette année sous le thème : « L’arganier, symbole de résilience « , cet événement sera un moment de mobilisation nationale et internationale autour de cet arbre endémique et de son écosystème ancestral, indique un communiqué de l’Agence nationale pour le développement des zones oasiennes et de l’arganier (Andzoa).
A cette occasion, un panel de haut niveau sera organisé sous la présidence du ministre de l’Agriculture, de la Pêche Maritime, du Développement Rural et des Eaux et Forêts.
Il rassemblera des intervenants de haut rang dont l’Ambassadeur Représentant permanent du Maroc aux Nations Unies, le Président de l’Assemblée générale des Nations Unies, le Vice-Secrétaire Générale de l’ONU et présidente du groupe des Nations Unies pour le Développement Durable, la Directrice Générale de l’UNESCO, le Directeur Général de l’OMS, la Directrice Exécutive Adjointe de l’ONU-Femmes, la Directrice Générale Adjointe de la FAO et le Directeur Exécutif du Fonds Vert pour le Climat.
Cet événement sera diffusé en live sur la Web TV des Nations Unies, ainsi que sur YouTube et sur les réseaux sociaux.
En marge de cet événement, le ministre donnera le coup d’envoi de la 6ème édition du Congrès International de l’Arganier qui se déroulera jusqu’au 13 mai et rassemblera la communauté scientifique nationale et internationale autour des avancées de la recherche scientifique au profit du développement durable et inclusif de tous les maillons de la chaîne de valeur de la filière de l’Arganier.
L’arganier, véritable exemple d’une adaptation exceptionnelle aux changements climatiques, a fait l’objet de diverses réflexions et d’innovations concertées afin de renforcer sa capacité de résilience écologique et socio-économique.
La Journée Internationale sera ainsi l’opportunité de partager avec le monde les connaissances sur la capacité de résilience d’un écosystème emblématique porteur de savoir-faire et d’expériences utiles pour se reconstruire, et ainsi rétablir un lien équilibré entre l’Homme et la nature, note la même source.
Avec la MAP